On organise un team building pour s’amuser et stimuler l'esprit d'équipe. Mais quand on s’adresse à Yves et Sofie de Moodmaker, on peut s’attendre à encore plus. Le fun est garanti. Mais si vous optez pour un concept comme « Chain Reaction », « On Shifting Sands » ou « Before Mars », vous y trouverez aussi votre compte. Yves Sandyck, gérant et entrepreneur, nous parle de l'évolution de son entreprise au fil des ans.
Comment se compose votre équipe aujourd'hui, Yves ?
« Mon épouse Sofie et moi avons fondé Moodmaker en 2005. En fonction des team buildings au planning, nous travaillons avec un certain nombre de free-lance. Comme certains d’entre eux travaillent pour nous depuis plus de 10 ans, nous pouvons leur faire une confiance. »
Comment votre entreprise s'est-elle développée ?
« En ce qui concerne le contenu, nous avons quelque peu changé d'orientation au fil des ans. Je me souviens très bien de notre premier événement. Croyez-le ou non, mais c'était pour Telenet. Nous avons alors organisé des Highland Games, uniquement pour le fun. »
« Aujourd'hui, on peut toujours s’adresser à Moodmaker pour s’amuser. Nous proposons ainsi un grand prix de caisses à savon ou des jeux de réalité virtuelle. Des formules sympas. Mais si vous voulez mon avis, le team building peut apporter beaucoup plus à votre équipe. »
« Depuis la crise du coronavirus, nous avons ajouté une autre dimension à nos team buildings. Comme la proximité physique était impossible, nous organisions des team buildings en ligne. Lors d'un événement en ligne, il est plus difficile de maintenir le fun-factor. Nous y avons donc associé une composante éducative : « Comment collaborer efficacement et partager des informations en ligne ? »
« Nous sommes donc progressivement passés à un autre niveau de team building, qui est à la fois amusant et qui vous fait réfléchir aux problèmes de l'entreprise. Nous avons baptisé nos nouveaux concepts « message creators » et « idea shakers ». Nous secouons littéralement les équipes pour en extraire des idées. Ou nous leur tendons un miroir. En tant que manager, vous pouvez faire passer des messages à votre équipe, mais vos collaborateurs les saisissent mieux s'ils en font l'expérience directe. »
Et qu’entendez-vous par « problèmes d'entreprise » ?
« Nous avons conçu des jeux autour du pouvoir de la collaboration, de la recherche d'opportunités dans le changement et de la relation entre la planification et l'exécution efficace. Autant de sujets d'actualité que nous abordons de manière ludique via un team building. »
Votre entreprise a-t-elle traversé des périodes difficiles ?
« Bien sûr. Nous commercialisons un produit cyclique. On suit le rythme de la conjoncture. S'il y a assez d'argent, il y aura un budget pour le team building. Lorsque les choses vont moins bien, certaines entreprises ont tendance à consacrer moins d'efforts au team building et aux activités de renforcement de l'esprit d'équipe. »
« Par exemple, la période du coronavirus a été assez rude. Mais avec le recul, nous avons beaucoup appris de cette expérience. Nous avons noué de bons contacts commerciaux, acquis de nouvelles idées et changé d'orientation. Avec le recul, je suis même reconnaissant envers le coronavirus ! »
Comment se présente votre équilibre entre travail et vie privée ?
« Je travaille dur et je suis passionné par ce que je fais. Je n'ai pas l'impression de devoir travailler dur, même si je fais beaucoup de choses. La passion me fait avancer. Je crois en ce que je fais. Et le fait que je puisse faire cela avec mon épouse le rend encore plus agréable. Nous faisons le plus beau métier du monde. »
« Un atout supplémentaire de ce travail ? Les sessions de team building ont rarement lieu pendant les vacances scolaires. À ces périodes-là, nous sommes aussi en congé. C’est donc le bon moment pour prendre des vacances ou pour étoffer nos connaissances. Ainsi, pendant les vacances de Pâques, je suis allé à Singapour découvrir de nouveaux formats de jeux. Et nous mettrons bientôt en œuvre ces formations dans notre offre. »
Comment faites-vous du marketing ?
Yves : « Nous constatons que de nombreux clients satisfaits reviennent. Le bouche-à-oreille fonctionne également très bien pour nous. Nous avons en outre un site web très clair, une newsletter et des annonces Google. En ce qui concerne les réseaux sociaux, je suis un fervent partisan de LinkedIn. »
« Si on ne trouve pas son public cible sur LinkedIn, on n'a pas de débouché. Sur ce réseau, on peut facilement segmenter et s’adresser aux HR managers. Nous y entretenons aussi les contacts avec nos clients existants. Il est grand temps de rappeler Telenet ! »
Avez-vous encore un conseil pour les autres entrepreneurs ?
“Play shouldn’t end with childhood. Le jeu est un moyen accessible de faire connaissance avec vos collègues et d'apprendre dans une ambiance détendue. Dans ce contexte, nos team buildings méritent donc d’être recommandés pour toute entreprise ou organisation. »
Comment Telenet Business peut-elle booster Moodmaker ?
Yves : « De nombreux jeux que nous organisons ont une composante en ligne. Par exemple notre formation ‘Before Mars’. Les actions qui se déroulent pendant cette formation sont suivies via une tablette. Cela nous permet de travailler plus vite en nous basant sur des données concrètes plutôt que sur des observations personnelles.
Parfois, nous réalisons une enquête en ligne au moment du team building : un questionnaire en fonction de la mission. Et nous devons aussi faire tourner notre système . Rien de tout cela ne fonctionnerait sans Telenet Business.
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